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Les islamophilistes français, idiots utiles du terrorisme islamiste

François Burgat, le Bachagha de l’islamologie néo-colonialiste Erhal Erhal Ya Burqa, Erhal Erhal bila Awdat : Parmi les grands naufragés…

By René Naba , in Actualités Média , at 11 janvier 2017

François Burgat, le Bachagha de l’islamologie néo-colonialiste

Erhal Erhal Ya Burqa, Erhal Erhal bila Awdat :

Parmi les grands naufragés de Syrie figurent les trois anciens résidents français de Damas, Pierre Vladimir Glassman, servant multicartes de la mission française en Syrie, François Burgat, son alter à l’ego surdimensionné, ainsi que Jean Pierre Filiu, dont ses révélations sur son chemin de Damas n’ont pas fini de provoquer en lui des déflagrations aux effets pervers.

Faux nez de l’administration, ils se porteront aux avants postes de l’offensive médiatique déployant un zèle omnidirectionnel pensant compenser ainsi leur mutisme sur les abus du pouvoir baasiste lors de leur immersion en pré-positionnement en Syrie. Ce trio d’intellectuels embedded fera long feu, démasqué et déconsidéré au grand dam de leur commanditaire.

Pierre Vladimir Glassman : Celui qui a été perçu dans les milieux progressistes arabes de Beyrouth comme le chiffreur de l’ambassade française en Syrie, -et désigné sous le sobriquet d’«Al Kazzaz», au choix «le vitrier ou le verrier»- sera par la suite animateur clandestin du site d’un «œil borgne sur la Syrie» de l’officieux journal du Quai d’Orsay le journal le Monde, sous le pseudonyme d’Ignace Leverrier. Il trépassera, l’été 2015 sans voir vu se réaliser son rêve, la chute du régime bassiste.

Le fonctionnement réticulaire du trio (Burqa, Leverrier, Filui) en synchronisation avec Thomas Pierret (Médiapart) fera du quatuor, les «tontons flingueurs» de la bureaucratie française, les drones tueurs de toute pensée dissidente, au mépris de la tradition de rigueur et d’objectivité scientifique de la recherche académique française.
Les sociétés connectées favorisent en effet l’épidémie du dénigrement et la culture de l’insulte.

Fébrile, vibrionnaire, l’ancien résident de Damas à la tête de l’Institut Français Pour le Proche Orient (IFPO), s’est arrogé, lui, le rôle de chef de meute des islamophilistes se vivant en Bachagha de l’islamologie néo-colonialiste.

Il a ainsi achevé une carrière, jadis prometteuse, par sa gratification du sobriquet de «Burqa-Burgat», glané sur le champ de bataille imaginaire de ses fantasmes, pour ses œillères idéologiques et sa déconfiture intellectuelle dans le décryptage des soulèvements arabes de l’hiver 2011.

Sa grille de lecture ressemble à une passoire de thé. Des impressions partielles et fugaces, des ajustements progressifs entre ses structures mentales personnelles et les structures sociales du champ social où il évolue. Ses automatismes de pensée l’enfermant dans des raisonnements déductifs et abstraits, qui débuchent sur une compulsion de répétition.

«Burga»… Un sobriquet dont il sera affligé ad vitam, d’autant plus cuisant que l’un des chefs de file du néo-islamisme, le tunisien Rached Al Ghannouchi, en adhérant au principe de réalité par l’abandon de l’Islam politique au profit d’une «démocratie musulmane», lâchera en rase campagne son outrancier thuriféraire à son triste sort, rendant caduques ses élucubrations qui lui valurent jadis leur pesant d’or.

Bénéficiaire d’une subvention de deux millions d’euros octroyée par le très atlantiste Conseil Européen des Relations Extérieures, le conférencier de l’Otan, en mission commando -en mission commanditée ?- se démènera comme un diable à l’ouverture des pourparlers de paix sur la Syrie, fin janvier 2016, pour discréditer l’opposition démocratique syrienne et valoriser ses amis djihadistes en une roue dentée de la diplomatie néo conservatrice française.

Assemblée Nationale (1), Sénat, RFI, le plus de l’Obs, tous, bien tous, -à l’exception du Conseil Constitutionnel et du Conseil d’État-, subiront la logorrhée de l’ancien résident de Damas, au point qu’au Palais Bourbon, des parlementaires affligés par sa sialorrhée quitteront la salle à la mi audience, laissant en pan ce paon de la pensée stratégique française. Ce dindon de la farce.

Indifférent aux malheurs de son pays, -dont il aura été grandement responsable par ses analyses fantaisistes-, sans craindre le ridicule, Burqa, agité d’une pensée diffluente, se répandra en complainte devant une commission parlementaire de son sobriquet. Confondant balourdise et humour, il fera valoir qu’à tout prendre il aurait préféré le sobriquet de Bucca, du nom du camp de prisonniers américain qui avait regroupé en Irak, entre 2003 et 2007, le noyau dirigeant du futur état islamique (Daech), suggérant par là sa préférence pour une identification à ce groupement terroriste.
Pathétique identification d’une pitoyable prestation. Une piteuse posture d’une imposture.

Jouissif comme Néron au spectacle de l’incendie de Rome, Burqa d’IREMAM, trônant sur son promontoire du Pharo, le compte en banque matelassé par des «primes d’expat», pourra désormais à loisir méditer, non sur les splendeurs du «Vieux Port» de Marseille, mais en «Idiot utile» du terrorisme islamiste, sur le champ de ruines que son narcissisme pervers aura infligé au Monde arabe, particulièrement les pays à structure républicaine.

Son programme «Wafaw», un programme de recherche sur l’autoritarisme dans le Monde arabe, aux analyses d’outre temps, prendra fin en 2017, augurant sinon d’une retraite anticipée à tout le moins d’une disgrâce. Malgré ses effets de manche, ses vitupérations, il quittera la scène vaincu et déconsidéré de tant d’excès. Dégagé bien avant son obsessionnel point fixe Bachar Al Assad.

La vieillesse, dans le cas de Burqa, est un naufrage. Et, dans le cas d’espèce, ce naufragé ne reposera pas en paix. La plus grande bonne volonté du monde ne lui épargnera pas un sort funeste. Rien n’y fait, rien n’y fera : En dépit des suppliques réitérées de ses partisans et l’intercession de ses détracteurs, l’œil était dans la tombe et regardait Caïn. Inexorablement, inéluctablement, immanquablement, l’œil sera dans la tombe et fixera Burqa.
Erhal Erhal Burqa, Erhal Erhal Bila Awdat.

Romain Abdallah Caillet Calimero, alias Colonel Salafi et ses anciennes connections avec le djihadisme

Si François Burgat a inondé la planète de ses jérémiades sur le sobriquet Burqa,- qui lui colle désormais en plein visage, comme le sparadrap sur le nez du Capitaine Haddock-, son disciple désormais renié par son démiurge, le djihadophiliste, Romain Abdallah Caillet Calimero, alias le Colonel Salafi, -son nom de conversion qu’il portait à sa fréquentation d’une mosquée salafiste du Caire- s’est symboliquement drapé, via son épouse, en Burqa, signant par là même et sa soumission au mimétisme ambiant et son indigence intellectuelle et son abdication idéologique.

Une insulte aux combats des femmes arabes à visage découvert contre leurs ennemis, de Leila Khaled et Dalal Moughrabi (Palestine) à Djamila Bouhired (Algérie).

Ci joint Abdallah Caillet-Calimero aux côtés de son épouse, d’origine marocaine, en Burqa, en promenade familiale sur la Corniche de Beyrouth portant dans ses bras un de ses enfants :

Dans une démarche destinée sans doute à masquer ses connections djihadistes anciennes, il se placera à l’avant garde de la curée anti-iranienne.

Il sera toutefois, curieusement mutique lors des honneurs militaires rendus au président Hassan Rouhani, début 2016, dans l’enceinte de la Cour des Invalides.

Une cérémonie dans l’une des plus prestigieuses places militaires françaises, en présence du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, le grand vaincu de l’accord international sur le nucléaire iranien. Tout un symbole. Alors, Colonel Salafi : Laurent Fabius, agent iranien lui aussi ? Ou petit télégraphiste israélien ?

Sur ce lien, le procès verbal de l’audition d’Abdallah Caillet par la Sous Direction Anti terroriste (SDAT).

La publication de cette note a fait tarir la pépite d’or du consultant BFM TV. Au lendemain de cette divulgation, la chaîne se débarrassera de son «djihadologiste» en herbe désormais encombrant en raison du fait qu’il n’avait «pas jugé utile de lui préciser un certain nombre d’éléments importants de son passé, liés directement aux questions qu’il devait évoquer à l’antenne».

Fiche «S» en 2008 et boursier de l’état français pendant quatre ans (2011-2015)…

Fiché S, et néanmoins boursier de l’état et échapper en cette période ultra sensible de montée en puissance du djihadisme, à la vigilance du «fonctionnaire sécurité défense», l’officier supérieur français affecté habituellement au ministère de l’enseignement supérieur pour détecter les brebis galeuses ?

Et si Romain Caillet n’était finalement qu’un «poisson pilote» des services français, «à l’insu de son plein gré», opérant sous couverture académique de François Burqa dans le marécage djihadiste, dont les connections ont pu être reconstituées par le pistage des ses interlocuteurs sur les réseaux sociaux, à l’instar de son compère qatarologue Nabil EnNsari, opportunément reconverti dans la «dé-radicalisation» après soufflé sur les braises ?

Jeté en pâture après avoir été pressé tel un citron, à la manière de Mohammad Merah, le tueur de Toulouse et de Montauban (2012)?

Sauf à y déceler l’indice d’une complaisance coupable des pouvoirs publics, la question mérite d’être posée au vu de son parcours chaotique et de sa longue immunité et impunité. Si tel était le cas, gare au retour de bâton d’Al Qaida, dont «les dirigeants sont des ignorants», Abdallah Calimero dixit.

Signe de son grand respect des deniers publics d’un état en faillite, l’homme vivra cinq ans aux frais du contribuable français à Beyrouth, boursier du Quai d’Orsay, sur instigation de son mentor Burgat auprès de son ami Eric Chevallier, poulain du socialo sioniste Bernard Kouchner et ancien ambassadeur de France auprès de l’opposition syrienne off-shore.

Cinq ans à abreuver ses censeurs de ses injures, sans soutenir sa thèse doctorale. Sans la moindre interpellation de l’autorité de tutelle sur cette défaillance, ni sur ses répercussions financières sur les deniers public.

Sans le moindre rappel à l’ordre de la hiérarchie quant aux choix aléatoires du directeur de thèse. Son expulsion de Beyrouth, en 2015, constituera le point final de sa lévitation et de son magistère sur les gazouillis de la planète djihadiste, en même temps que la fin de l’imposture intellectuelle de ce djihadologue autoproclamé.

Le quatuor Burgat-Caillet-Pierret-Ennasri… une parfaite illustration de l’utilité du copinage, du mépris du contribuable et de l’irresponsabilité de la tutelle.

Le tableau serait plus complet avec l’adjonction de Vincent Geisser, en état d’épectase permanent devant son gourou nahdaouiste Mouncef Marzouki, le fossoyeur de la démocrate post dictature par son alliance contre nature avec Rached Ghannouchi, le chef de la branche tunisienne des Frères Musulmans, ainsi que Pierre Puchot, l’appendice beyrouthin du quatuor, la relève fumeuse de l’expulsé du Liban, Abdallah Cailllet, qui recommande de «relativiser l’importance du phénomène djihadiste» et dont l’ignorance crasse s’étale sur ce lien, sur le dos du contribuable français :

«En Syrie, Les djihadistes ne représenteraient que «10 à 15%» des combattants de la rébellion syrienne, selon le chercheur Romain Caillet (sic). Ils sont mieux entraînés, mais le rapport de force sur le terrain est en train de changer à l’avantage des laïques et islamistes modérés», soutient Pierre Puchot.

«Islamiste modéré»? Une spécificité française qui vire à la spéciosité en ce que la France est l’unique pays au Monde à pratiquer ce distinguo qui se veut subtil, indice patent de sa confusion mentale.

Chapeau l’artiste. Au rythme des âneries pareilles débitése à journées faites par ce quarteron d’«ex-pat», à l’abri du risque et du besoin, la décadence est assurée.

À croire que «les conseillers ne sont pas les payeurs». Pierre Puchot apparaît rétrospectivement comme une parfaite illustration de cette caste de bureaucrates intellectuels sans rapport avec les périlleuses réalités du terrain, à qui fait défaut le sentiment de leur insignifiance devant la gravité des périls qui fondent sur la Nation.

La rigueur morale commande à cette quintette de branquignoles de la pensée d’interroger les survivants des carnages de Charlie Hebdo et du Paris Bataclan, en 2015, et de Bruxelles et de Nice, en 2016, de même que les familles des victimes pour savoir si de tels arguties emportent leur adhésion ; si de tels arguments fallacieux développés depuis leur tour d’ivoire collective vaut quitus de leur malheur, alors qu’il serait plus sain d’admettre que la spirale de la terreur en France se terminera quand celle-ci cessera de se comporter en état-voyou.

BHL et le serment de Toubrouk

http://www.purepeople.com/media/bhl-laurent-fabius-et-bernard-kouchner_m655341
Dernier et non le moindre, BHL : «l’homme des ides de Mars», loin des rumeurs désobligeantes de la ville et des imprécations contre son auguste personne, médite sur son exploit rarement égalé d’avoir libéré les forces bridées du djihadisme tant en Syrie qu’en Libye, déblayant ainsi la voie à l’accès de l’État Islamique au flanc sud de l’Europe, projetant dans l’espace européen près d’un million de migrants faméliques vers un continent en crise systémique de son économie.

Le Malraux des temps modernes se voulait un homme de son temps, il s’est révélé un homme de l’Otan. L’homme de la guerre et de la paix est, en fait, un homme guère épais… Avec son «Serment de Toubrouk» en guise de cache misère.
Six ans après le soulèvement populaire arabe, la légende d’un mouvement spontané de révolte mené par des cyber-activistes est mise à mal. Elle tourne, par moments, à la mystification, voire à la supercherie en raison de leurs connexions anciennes avec leurs bailleurs de fonds opérant sous couvert d’ONG et l’intervention massive des agences de communications, notamment depuis Doubaï de la firme Saatchi and Saatchi, sous la houlette du libanais Élie Khoury, «spécialiste en stratégie des communications» et artisan de la «Révolution Orange» au Liban.

«Fron Confrontation to Containement» : Le rapport de la Rand coproration

Le premier à avoir mentionné un plan prémédité américain pour donner un coup de balai à la nomenklatura arabe et renouveler les autocrates gérontocrates a été Mohammad Djibril, ancien premier ministre de la période transitoire de Libye.
«La stratégie américaine, depuis 2007, a visé à confier la gestion de l’Islam politique aux Frères Musulmans afin que la confrérie assume le rôle de chef de file du courant se réclamant de l’Islam modéré». Elle s’est inspirée d’un rapport de la Rand corporation, qui avait pour nom de code «C-C» pour «From Confrontation to Containement», a-il assuré lors d’une interview à la presse arabe à l’occasion du 3e anniversaire de la chute de la dictature.

Volant au secours de la victoire, des intellectualoïdes (3), en fin de parcours, se sont ralliés à la bannière du néo-islamisme de la confrérie des Frères Musulmans, dont les pronostiqueurs annonçaient la victoire, dans l’espoir d’un pathétique rôle de gourou de la contre-révolution arabe.

Les dérives de leurs poulains vers le djihadisme planétaire, les mésalliances d’un Occident porteur de civilisation, la résistivité de certaines cibles de la stratégie atlantiste, Bachar Al Assad de Syrie, et les Houthistes au Yémen, le soutien résolu de l’Iran, de la Russie et du BRICS (Brésil, Inde, Chine, Afrique du sud) à leurs alliés régionaux, mettront en échec ce plan.

La fin du monopole des airs exercé depuis 70 ans par l’alliance atlantique.
La guerre de Syrie a brisé le monopole des airs détenus depuis la fin de la IIe Guerre mondiale (1939-1945), il y a 70 ans par l’Otan et son allié israélien, de même que la fin du leadership en Méditerranée, désormais sillonnée en permanence par les flottes russes et chinoises avec des facilités à Tartous (Syrie) et Mers El Kébir (Algérie), bouleversant la stratégie régionale au bénéfice du coupe moteur du BRICS.

L’Histoire retiendra, rétrospectivement, que Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Hollande, Laurent Fabius, BHL, Bernard Kouchner et Burgat auront été les grands vaincus de la guerre de Syrie, entraînant la France dans leur naufrage moral signant par la même la déconfiture de la pensée stratégique française.

La Syrie, six ans après, se présente comme un vaste cimetière de la classe politico-médiatique française, un naufrage de l’ampleur du désastre de Trafalgar, à l’effet de marginaliser considérablement la France dans la gestion des affaires du monde.

L’anthropologie arabe devra un jour s’attacher prioritairement à décrypter les motivations profondes qui ont propulsé des militants communistes aux convictions solidement ancrées, allant jusqu’à leur incarcération, en «Fou du Roi», faire valoir des pétromonarchies les plus antinomiques à leur combat de vie. Et la psychiatrie arabe interpréter cette singulière prédisposition des bi-nationaux franco-syriens à se dévouer pour une fonction supplétive de deux pays (France-Turquie) à l’origine du démembrement de leur partie d’origine, Alexandrette (Syrie).

1- Audition de François Burgat à l’Assemblée Nationale française sur les moyens de Daech. Audition diffusée par LCP. Écouter à partir de la 48e minute ou il se plaint d’être qualifié de Burqa :

Réunion de la mission d’information sur les moyens de Daech et audition de François Burgat, directeur de recherche au CNRS et coordonnateur du (…)

http://archive.lcp.fr/emissions/travaux-de-l-assemblee/vod/178656-reunion-de-la-mission-d-information-sur-les-moyens-de-daech-et-audition-de-francois-burgat-directeur-de-recherche-au-cnrs

Pour aller plus loin sur ce personnage
Sur la déconfiture de la presse française

Les charlatans de la révolution syrienne par Bruno Gigue

2- Cf. à ce propos Haytham Manna, président de l’Institut Scandinave des Droits de l’Homme dans son ouvrage «La Résistance civile, contribution à l’auto-immunisation des sociétés» SIHR 2e édition 2015).

3- Intellectoïdale : L’intellectoïdale est à l’intellectuel ce que l’androïde est à l’être humain. Une vague ressemblance à l’extérieur, et, à l’intérieur, juste en fatras de câblage pré-programmes. François Burgat et BHL relèvent de la faune intellectoïdale, Noam Chomsky est, lui, un intellectuel.

La version arabe en fin de texte par Sana’a Yazigi Khalaf – Enseignante – France.

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