Tuesday, March 19, 2024
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Les deux fautes stratégiques majeures du Mouvement National Palestinien

Le Mouvement National Palestinien est l’unique Mouvement de Libération Nationale au Monde à avoir commis deux fautes stratégiques à l’effet de le projeter dans une impasse tragique, au point de dénaturer son combat, en dépit d’un lourd tribut payé à la reconnaissance de la légitimité de sa cause, en dépit du bien fondé de sa revendication.

By René Naba , in Actualités Analyse International Moyen-Orient Palestine , at 24 octobre 2017 Étiquettes :

«Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités». Voltaire

Le Mouvement National Palestinien est l’unique Mouvement de Libération Nationale au Monde à avoir commis deux fautes stratégiques à l’effet de le projeter dans une impasse tragique, au point de dénaturer son combat, en dépit d’un lourd tribut payé à la reconnaissance de la légitimité de sa cause, en dépit du bien fondé de sa revendication.

1ère faute: La renonciation à la lutte armée de l’OLP

La renonciation à la lutte armée avant la satisfaction de ses objectifs nationaux, autrement dit la répudiation guérilla, la marque de fabrique des guerres de Libération, un des fondements du combat national, a constitué la première faute majeure, rendant le mouvement palestinien captif de l’agenda des parrains d’Oslo, les États Unis. Cette décision a été prise par le chef de l’OLP, Yasser Arafat, en personne, dans la foulée des accords israélo-palestiniens d’Oslo en Octobre 1993, sans que cet arrangement, circonstance aggravante, ne soit assorti de mesures coercitives quant à la mise en œuvre d’un calendrier d’application de l’accord devant déboucher sur l’édification d’un État Palestinien indépendant.

2ème faute: La dérive stratégique du Hamas lors de la guerre de Syrie (2011-2017).

La décision du Hamas de privilégier une alliance avec les pétromonarchies, sur une base sectaire, en reniant ses anciens frères d’armes, -la Syrie, l’Iran et le Hezbollah libanais, pourtant artisans de sa propulsion militaire-, a constitué une dérive rarissime dans les annales des guerres de libération nationale, en même temps qu’un acte d’ingratitude absolu mettant en question la crédibilité politique du mouvement et la pertinence de son appréciation des rapports de force régionaux. Cette aberration idéologique explique la suspicion et la perplexité que le Hamas projette parmi les nombreux sympathisants de la cause palestinienne à travers le Monde.

Si l’Iran et le Hezbollah Libanais on décidé de récupérer la «brebis galeuse» pour les nécessités du combat, la Syrie, qui avait offert l’hospitalité au chef du Hamas Khaled Mecha’al pendant quinze ans et armé ses combattants notamment le camp palestinien du Yarmouk, banlieue de Damas, s’est refusée à passer l’éponge sur ce qu’elle a qualifié de «trahison». L’Algérie, elle, paraît réticente à offrir l’hospitalité aux dirigeants d’un mouvement hybride, au comportement aléatoire, jouant de sa double sensibilité de mouvement de libération palestinien et de branche palestinienne de la Confrérie des Frères Musulmans. Alger craindrait le zèle prosélyte de ces islamistes palestiniens et leur osmose avec les islamistes algériens dont l’Algérie en a lourdement pâti au cours de la «noire décennie» (1990-2000).

Le piège du processus de paix.

La stratégie israélo-américaine a visé, d’une part, à rompre le “Front Arabe” dans une négociation globale sur la totalité du contentieux israélo-arabe, en découpant le processus par tranches, en fonction des besoins spécifiques des Israéliens et des Américains à l’égard de l’état arabe concerné; A donner, d’autre part, une caution juridique à un rapport de force favorable à l’État Hébreu, en modulant les exigences israéliennes en fonction du momentum stratégique de la conjoncture régionale.

Ainsi le refus israélien de négocier a été imputé, dans un premier temps, à l’absence d’interlocuteurs arabes ou palestiniens; dans un deuxième temps, les pourparlers ont été subordonnés à la présence de négociateurs palestiniens agrées par Israël, seul cas diplomatique où l’ennemi choisit les négociateurs adverses. Dans un troisième temps, au refus de faire de la Palestine une base soviétique; dans un quatrième temps, au refus de faire de Gaza, une base islamiste; dans un cinquième temps, au refus de faire de Gaza une base iranienne. Des préalables assortis de conditions maximalistes, notamment la mise en confiance d’Israël par la normalisation avec les pétromonarchies du Golfe, des États sous la coupe militaire de l’Otan, décriés et fragilisés par leur guerre fratricide.

L’analyse d’Assaad Abou Khalil (Journal libanais Al-Akhbar): Une refondation du Mouvement National Palestinien au delà du Fatah et du Hamas.

Réagissant à l’analyse des deux experts palestiniens parus dans The New Yorker, l’universitaire américain d’origine libanaise, Assaad Abou Khalil, animateur du blog http://angryarab.blogspot.fr/ par ailleurs contributeur du journal Libanais «Al Akhbar», leur reproche leur engouement incompressible envers le processus de paix.

Ci joint les principaux passages de son analyse, dont la version intégrale en arabe pour le locuteur arabophone se trouve sur ce lien:
http://www.al-akhbar.com/node/281665

«L’ennemi ne veut pas de Mahmoud Abbas car il n’est pas en mesure de satisfaire ses desiderata. Que vaut un traité de paix conclu par un dirigeant démonétisé ?, écrit le politologue libano-américain se référant aux confidences de Jared Kuschner, gendre du président américain Donald Trump, mettant en doute l’utilité du processus de paix, confirmant par là-même le fait que “l’administration Trump est la plus sioniste de l’histoire américaine”.

«Du plan Rogers, en 1970, (du nom de William Rogers, secrétaire d’état de Richard Nixon), au processus de paix d’Oslo (1993), soit 23 ans, l’objectif apparent des États Unis a été de donner aux États arabes l’impression que les Américains étaient soucieux d’instaurer la paix au Moyen Orient. Mais ce stratagème visait en fait par effet d’usure à entraîner les Arabes à souscrire à un traité de paix à des conditions avantageuses pour l’État Hébreu.

«Sous couvert d’une recherche de la paix, les États Unis font du zèle lors des défaites arabes, comme ce fut le cas lors de la signature du Traité de Paix israélo-libanais, mort-né, en 1983, à la suite de la destruction du sanctuaire libanais de l’OLP). Ou pour obtenir la caution arabe à des équipés impériales contre les pays arabes, comme ce fut le cas lors de la conférence de Madrid en 1990, dans la foulée de la première invasion américaine de l’Irak, ou la conférence d’Annapolis, en 2007, dans le prolongement de la deuxième invasion américaine de l’Irak. Le show diplomatique et médiatique offert aux arabes en cette occasion paraît destiné à les amadouer, en flattant la vanité des dirigeants. Mais Washington se désintéresse du processus aussitôt ses objectifs atteints.

Le virage sioniste de Bill Clinton (1993-2001).

«Il était de tradition au sein de l’administration américaine, qu’elle soit républicaine ou démocrate, que la gestion des affaires du Moyen-orient soit confiée à des arabisants, dont la politique était naturellement préalablement dictée par le Congrès américain sous l’influence du lobby juif américain.

«Bill Clinton a mis fin à cette tradition en vigueur aussi bien au Département d’État, qu’au département de la Défense qu’au sein des services de renseignements américains (CIA), confiant la totalité du dossier au lobby sioniste dans ses deux versions, républicaine et démocrate, notamment Denis Ross, Aaron Miller et Martin Indyk.

NDLR (((Denis Ross, chef négociateur des pourparlers de paix à Camp David, est Directeur de l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient (WINEP – Washington Institute for Near East Policy), un groupe d’experts pro-israélien créé par le Comité des Affaires Publiques Américano-israéliennes (AIPAC– American Israël Public Affairs Committee).

Aaron Miller, adjoint de Denis Ross aux négociations, a publiquement critiqué son supérieur, l’accusant de se faire l’avocat des Israéliens» plutôt que de faciliter un compromis, dans le meilleur intérêt de l’Amérique.

Martin Indyk, citoyen juif australien, a été naturalisé américain en 1993 et immédiatement nommé ambassadeur des États Unis en Israël. Fondateur du WINEP, une branche du lobby juif américain, il a cumulé les fonctions d’Ambassadeur des États-Unis en Israël avec le poste d’adjoint au Secrétaire d’État pour les Affaires proche-orientales. Il est réputé pour son soutien inconditionnel à la politique gouvernementale israélienne))).

«Oslo a transformé le Fatah en instrument docile de la stratégie américaine. Denis Ross poussait l’outrecuidance jusqu’à exiger de la délégation palestinienne de dégager les négociateurs qui n’avaient pas l’heur de lui plaire. Yasser Arafat s’est rendu compte un peu tard de son erreur et a cherché, via les Brigades d’Al Aqsa, à maintenir viable l’option de la lutte armée. Mahmoud Abbas, lui, a été plus loin que Yasser Arafat, jugulant toute forme de lutte armée non seulement dans les rangs du Fatah mais également au sein des autres formations palestiniennes.

«Toute une génération de Palestiniens ignore la lutte armée. Elle n’en a connaissance qu’à travers le récit des anciens.

«Lorsque Mahmoud Abbas menace de suspendre la coordination sécuritaire entre Palestiniens et Israéliens, Israël se moque de lui sachant pertinemment que la menace est inopérante car la coordination sécuritaire israélo-palestinienne, soutient l’auteur, se fait, au premier chef dans l’intérêt du dirigeant palestinien qui le protège de la colère de son peuple et des actes de violence dont il pourrait être la cible, d’autant plus que la totalité des points de passage de l’État palestinien sont sous contrôle israélien.

Les attaques au couteau et à la voiture bélier, dont la scène israélienne en est le théâtre ne relève pas d’une stratégie frontale contre l’ennemi en vue de modifier les rapports de force. Elle s’apparente à des coups de canifs dans le corps d’un colosse. Si elle saigne l’adversaire, elle sont loin de lui infliger une hémorragie fatale. Elles traduisent, en tout état de cause, une forme de résistance du désespoir.

HAMAS, une impasse encore plus grande.

Les contradictions du Hamas

«Hamas vit une impasse plus grande que le Fatah. Yasser Arafat savait se jouait des contradictions des régimes arabes et en tirer profit à son avantage jusqu’à sa tentative de médiation dans le conflit Irak-Koweït, qui l’a projeté dans l’isolement le plus complet.

«1ère contradiction: «Très proche de la Syrie et l’Iran, la branche palestinienne de la Confrérie des Frères Musulmans s’est brusquement rangée du côté du Qatar, qui abrite la plus importante base américaine du tiers monde, pour des raisons exclusivement sectaires.

Un mouvement de libération nationale qui répudie ses frères d’armes pour procéder à un alignement sectaire, sur la base de la religion, cesse ipso facto d’être un mouvement de libération nationale.

«2me contradiction: «Hamas a refusé Oslo, mais a néanmoins participé à des élections législatives régies par les accords d’Oslo. Quelle valeur revêt une élection à l’ombre des baïonnettes de la puissance occupante? Les élections législatives doivent elle se dérouler à l’ombre d’une puissance occupante ou intervenir après la libération du territoire de la puissance occupante?

«3me contradiction: «Le nouveau programme politique adopté par le Hamas en juin 2017 maintient la revendication sur la totalité du territoire de la Palestine sous mandat britannique, mais accepte néanmoins d’édifier un état sur les frontières de 1967.

«4me contradiction: Hamas enfin clarifie ses rapports avec les Juifs, alors que la précédente mouture de son programme se référait explicitement au «Protocole des Sages de Sion», -«un faux document avéré». Mais alors pourquoi le mouvement islamiste palestinien n’a-t-il pas clarifié ses rapports avec ses proches, les Chiites, les Alaouites et les Chrétiens.? Une clarification d’autant plus nécessaire que le Hamas a sombré dans un discours sectaire lors de la séquence dite du «printemps arabe».

Il en résulte que le nouveau programme politique du Hamas constitue «un blanc seing accordé au Qatar dans son approche vis à vis de son environnement régional et à l’égard des pays occidentaux».

Une réforme de l’OLP de l’intérieur est impossible.

«Plus aucune formation palestinienne ne se consacre pleinement et effectivement au combat pour la libération de la Palestine, séquence unique dans les annales des guerres de libération. Certes le Hamas a livré de courageuses batailles pour la défense de Gaza, mais son emprise sur l’enclave l’a contrainte, paradoxalement, à respecter les frontières internationales de son ennemi.

«Le Fatah jugule la lutte armée en Cisjordanie et Hamas à Gaza, alors que les camps de réfugiés palestiniens du Liban à Eïn el Héloué, banlieue de Saida (Sud-Liban), et Nahr El Bared, banlieue de Tripoli (Nord-Liban) ainsi que le camp de Yarmouk, banlieue de Damas (Syrie), sont gangrenés par des guerres confessionnelles et par la guerre inter factionnelle de Syrie. Il est donc impossible de réformer l’OLP de l’intérieur.

Vers la convocation d’une nouvelle constituante révolutionnaire.

«Il importe donc de convoquer une nouvelle constituante en vue d’élire une nouvelle instance révolutionnaire avec pour mandat de relancer la guerre de libération nationale et pour mission de constituer de nouvelles unités combattantes tirant profit des expériences du passé.

«Ce nouveau mouvement révolutionnaire constituera un antidote au sentiment de désespoir et de résignation qui s’est emparé du peuple palestinien et à l’abandon de la cause palestinienne par les régimes arabes.

Tous les états arabes ont souscrit à la capitulation aux conditions dictées par le lobby israélo-américain.

Les conditions d’une refondation.

Illustration : Photo prise à la 19e session du Conseil national palestinien tenu le 15 Novembre 1988 à Alger, marqué par la proclamation unilatérale de l’indépendance de la Palestine, parle parlement palestinien.

«La refondation doit s’inspirer de la précédente expérience de Georges Habbache et de Waddih Haddad, les deux co-fondateurs du Mouvement Nationaliste Arabe (MNA), de tendance nassérienne, puis du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP), d’obédience marxiste, qui ont voué leur vie à la libération de la Palestine.

«Georges Habbache et son adjoint Waddih Haddad ont tout de suite pris la mesure de l’incapacité des élites à mener une révolution, s’employant à constituer de petites cellules combattantes au sein des camps de réfugiés palestiniens de Jordanie et du Liban, le terreau de la révolution.

«Le nouveau mouvement de Libération National Palestinien, à tonalité révolutionnaire, devra se dégager du passif légué par les précédents dirigeants palestiniens depuis Hajj Amine Al Husseini, Mufti de Jérusalem, dans la décennie 190-1950,à nos jours, en passant par le passif légué par le bureaucrate Ahmad Choukeiry, premier président de l’OLP et ses successeurs Yasser Arafat et Mahmoud Abbas. Il se devra de se dégager des contraintes d’Oslo, qui fut un processus de paix sans fin et sans objet, et, veiller à créer les conditions d’une nouvelle conduite révolutionnaire.

Épilogue

Le Hezbollah libanais, le parfait contre exemple du Hamas et du Fatah.

Vainqueur face à Israël au Liban et en Syrie dans la défense de l’intégrité de ce pays qui constitue son hinterland stratégique, le Hezbollah libanais apparaît comme le parfait contre exemple du Hamas et du Fatah.

Sa dissuasion asymétrique, fondée sur une riposte balistique, a constitué une novation dans la stratégie militaire contemporaine. Le Hezbollah a ainsi modifié les règles du combat dans sa confrontation avec Israël, une puissance nucléaire créditée parmi les plus grandes armées de l’Hémisphère Sud.

En obtenant le dégagement militaire israélien du Liban sans négociation ni traité de paix, en 2000, la formation chiite a propulsé le Liban à la fonction de curseur diplomatique régional, et, dans l’histoire du conflit israélo-arabe, le standard libanais au rang de valeur d’exemple, tant cet exploit a revêtu dans la mémoire collective arabe un impact psychologique d’une importance comparable à la destruction de la ligne Bar Lev, lors du franchissement du Canal de Suez, lors de la guerre d’octobre 1973.

Récidiviste huit ans plus tard, le Hezbollah initiera, face à la puissance de feu de son ennemi et à l’hostilité quasi générale des monarchies arabes, une nouvelle méthode de combat, concevant un conflit mobile dans un champ clos, une novation dans la stratégie militaire contemporaine, doublée d’une audacieuse riposte balistique, à la grande consternation des pays occidentaux et de leurs alliés arabe.

Vainqueur face à Israël et en Syrie, le Hezbollah libanais apparaît comme le parfait contre exemple du Hamas et du Fatah, l’un des plus prestigieux mouvements de libération du tiers monde à l’exemple des Barbudos cubains, des Vietcongs et du FNL algérien, l’ultime digue de retenue face à une capitulation généralisée du Monde arabe.

L’histoire du Monde arabe abonde de ces exemples de «fusibles» magnifiés dans le «martyr», victimes sacrificielles d’une politique de puissance dont ils auront été, les partenaires jamais, les exécutants fidèles, toujours. Dans les périodes de bouleversement géostratégique, les dépassements de seuil ne sauraient se franchir dans le monde arabe sans déclencher des répliques punitives.

Le Roi Abdallah 1er de Jordanie, assassiné en 1948, le premier ministre irakien Noury Saïd, lynché par la population 10 ans après à Bagdad, en 1958, ainsi que son compère jordanien Wasfi Tall, tué en 1971, le président égyptien Sadate en 1981, le président libanais Bachir Gemayel, dynamité à la veille de sa prise du pouvoir en 1982, l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005, les deux vecteurs d’accompagnement médiatique de la stratégie atlantiste au Moyen orient, –les journalistes du quotidien libanais An Nahar Gébrane Tuéni et Samir Kassir–, enfin l’ancien premier ministre du Pakistan Benazir Bhutto en 2007, constituent à cet égard les plus illustres témoins posthumes de cette règle non écrite des lois de la polémologie si particulière du Moyen-Orient.

Au mépris des usages internationaux les plus élémentaires, Yasser Arafat, pourtant titulaire du Prix Nobel de la Paix pour Oslo, sera confiné dans son réduit de Ramallah, placé en résidence surveillée, mais le tandem maléfique responsable de cette infamie, Ariel Sharon-George Bush jr, connaîtra une sortie d’histoire peu glorieuse. L’Israélien sombrera dans un coma, symbolique de sa politique agressive et terminera sa vie en «légume», alors que l’Américain sera gratifié du titre accablant de «pire président de l’histoire des États Unis».

Tels pourraient être les enseignements majeurs de cette séquence dont la principale victime aura été la juste cause du peuple palestinien; la dernière entreprise coloniale occidentale du XX me siècle. Un point noir indélébile sur la conscience occidentale.

Pour aller plus loin sur ce thème :

Yasser Arafat, Mister Palestine for Ever,

Israël: De la propagande

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